Ma journée au 35e anniversaire du Club Mons-Borinage
Le Club de Mons-Borinage nous a convié à participer à la célébration de son 35ème anniversaire.
Arrivés au site du Grand Hornu, lieu impressionnant de mémoire collective, nous avons été accueillis dans une ambiance chaleureuse.
Une visite guidée de ce lieu historique nous a permis de plonger dans un univers tourné vers l’industrie minière et dans son organisation sociétale.
Nous avons aussi suivi avec un vif intérêt, grâce à cette visite documentée, la reconversion du site en un lieu de mémoire relié à l’art contemporain.
Ensuite, au son de la fanfare qui a joué des airs de musique locale tels que « on est boreign », « gilles de binche » « Doudou », nous nous sommes retrouvés au cœur de l’esprit Richelieu qui nous anime.
Après les allocutions protocolaires, nous nous sommes régalés au restaurant Rizom et y avons festoyé au son des chansons entonnées par nos amis R/ Annie et R/ Stefano, fringants et costumés ; les prouesses d’un magicien ont également fait partie de la fête.
Après ces moments joyeux, nous avons eu la possibilité de visiter l’exposition « Un futur aimable » consacrée à l’œuvre de Michele De Lucchi qui utilise notamment des bois sculptés pour représenter sa vision du monde ; moments de poésie et de réflexion.
Je tiens à remercier et féliciter le Club de Mons-Borinage pour son accueil convivial, le choix remarquable du menu de la journée, les présents offerts aux participants et l’ambiance empreinte de l’ardeur Richelieu qui le caractérise.
R/Catherine Voordecker
Chères amies, chers amis Richelieu du club de Mons-Borinage,
Cher Altesse, chère Marquise.
Merci pour cette belle fête donnée à l’occasion du 35e anniversaire de votre club.
Merci pour cette visite du site du Grand-Hornu, patrimoine majeur de Wallonie.
Merci à l’Unesco de l’avoir inscrit à son patrimoine mondial.
Merci à la fanfare de nous avoir rappelé combien la ville de Mons est au cœur d’une région carnavalesque de traditions.
Merci, pour autant, de ne pas avoir canardé vos invités d’oranges.
Merci à la Marquise de Valenciennes d’avoir franchi la frontière au risque d’abandonner son château endommagé, en son absence, par un incendie accidentel.
Merci au Roi-Soleil d’avoir illuminé notre fin de repas en chansons aux côtés de la Marquise de Valenciennes.
Merci à Toi, Louis ou Stefano, je ne sais plus au juste, d’avoir revêtu ton splendide costume de fête, qui fit de toi un hôte encore plus royal que d’habitude.
Merci encore à Toi, ô mon bon Roi, d’avoir offert à tes invités, de chanson en chanson, un défilé inattendu de couvre-chefs, seule manquant la toque du chef du restaurant.
Merci, précisément, au chef doublement toqué du restaurant Rizom (comme il a deux toques, il aurait quand même pu t’en passer une, non ?).
Merci à Jean Germain, dernière Personnalité Richelieu en date, de nous avoir rappelé, à bon escient, que le berceau de la langue française n’était pas à Paris mais bien dans le triangle Valenciennes – Mons – Tournai, cocorico !
Merci à Madame la Présidente Josette et à sa fine équipe pour cette bien belle organisation où, même sans hirondelles, il y avait de la joie.
Merci à tous et à toutes pour ces, déjà, beaux souvenirs.
Enfin merci, quoi !
Pierre Germay, président non toqué du club de Liège – Georges Simenon.
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